• Il préfère le despotisme

    Par juneencampagne le 13 Octobre 2006 à 23:05

    "La meilleure des préventions, c'est la sanction"     (N. Sarkozy dans Témoignages, 2006)

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  • La délinquance doit être dépistée dès le plus jeune âge

    Par juneencampagne le 11 Octobre 2006 à 12:12

    Le petit Nicolas s'est fait porter pâle hier, pour cause de migraine ; migraine caractérisée ou migraine caractéristique ?
    Nous ne le serons jamais.
    Ses parents, Philippe (Tesson) et  Nadine (Moreno) ont beau jeu de s'en défendre (sur ITélé), le pt'it est un agité, un hyperactif.

    Personne n'a voulu voter la loi sur le dépistage précoce de la délinquance (affairiste et financière), mais là, nous avons affaire à un cas typique :

    . tics (épaules qui se soulèvent toutes seules) nerveux ;
    . paranoïa et égocentrisme ("tout le monde est contre moi") ;
    . mensonges caractérisés (GDF) ;
    . sentiment d'infériorité (retouche de photos pour paraître plus grand) ;
    . tempérament influençable et mauvaises fréquentations (Balkany, Pasqua, Balladur, Estrosi...).

    Bref, je préconise une hospitalisation immédiate pour une bonne cure de sommeil (8 mois reconductibles) et une médication adéquate.

    June D.


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  • Quelques sarkons ... à user et abuser dans les dîners

    Par juneencampagne le 10 Octobre 2006 à 17:34

    Entre filles de bonne famille
    "Par le Saint Prépuce du Ministre de l'Intérieur"

    Pour la caillera à karcheriser
    "Va te faire sarkozé"

    Pendant une scène de ménage
    "Je m'en bats les sarkouilles"*

    Le dimanche en famille
    "Sarkobleu"
    ...
    *Il existe aussi la version "je m'en bats les ségolinettes" pour les filles (mignon, non ?)

    June D.


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  • Les vacances du Petit Nicolas

    Par juneencampagne le 10 Octobre 2006 à 16:53
    Il fut un temps, lointain maintenant, où le petit Nicolas passait ses vacances en Corse, du côté de Vico ; il y rencontra une jeune femme, fille de notables de l'île et tomba sous son charme.

    Il l'épousa bientôt.
    De leur union naquît deux fils.

    Nicolas, délaissé très jeune par son père, se prit d'amitié pour cette grande famille insulaire ;
    Achille Peretti qui lui légua la belle ville de Neuilly ; 
    Charles Pasqua, témoin de son mariage ; 
    la famille Geronimi, propriétaire d'un glacier situé en face de la villa du petit Nicolas (Sarkozi, et oui, en Corse le y s'est transformé en i) qui de temps à autre organisait des soirées de soutien aux « prisonniers politiques » ; 
    et bien sûr les Colonna. 

    Ah ! Le petit Nicolas a vécu des vacances heureuses en Corse, alors on comprend son émotion quand l'un de ses fils lui déclare qu'il veut devenir berger, qu'il soutient la cause des nationalistes et s'affiche avec les plus durs d'entre eux.

    Quand certains posent des bombes, d'autres... posent des bombes ; en tout cas, les débats promettent d'être explosifs.

    June D.

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  • Sarkophobie

    Par juneencampagne le 10 Octobre 2006 à 12:39
    Arrrrrrrrrgh ! Nicolas Sarkozy, c'est plus possible ; c'est viscéral, c'est épidermique, c'est incontrôlable.

    Obligée maintenant de fermer mon journal, d'éteindre la radio, la télévision quand j'entends son nom.

    Je crois que je fais une allergie, mais pas une petite allergie qui nécessite un peu d'anti-histaminique, non ! Une vraie allergie avec gros boutons purulents, asthme et pompiers en urgence. 

    Au secours ! Il faut que les labos se mettent sur le coup parce que je ne suis pas la seule, y'a un vrai danger de santé publique.
    <?xml:namespace prefix = st1 /><st1:personname productid="La Sarkophobie" w:st="on">La Sarkophobie</st1:personname>, c'est une maladie lourde, contraignante, handicapante ; j'ai monté une association pour faire du lobbying auprès du Ministre de la Santé, j'exige des indemnités, un procès retentissant, la reconnaissance par l'Etat de sa faute.

    Mon histoire est la même que celle des autres malades ; au début, on n'était pas trop gêné, on ne l'a pas vu venir, on riait, on se moquait. Ca fait partie de la vie comme l'arachide, les poils de chat, le pollen ; ça picotait un peu, mais je n'avais pas fait le rapprochement.

    Puis, un jour, j'ai ri jaune ; ça commençait à me démanger vraiment, éternuements, toux, nervosité.

    Et maintenant, c'est du délire ; rien qu'à y penser, les plaques apparaissent, je me gratte des pieds à la tête, j'étouffe ; j'ai l'œil vide et la peau rouge.

    « Psychosomatique », m'a dit le médecin ; ah oui ! Et ma peau qui se desquame, mon souffle court ; je ne dors plus, ne mange plus.

    On a été sympa avec Mittal, alors les indiens ne vont pas nous faire le coup du Clemenceau, ils vont le prendre le Sarko.

    June D.

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