• La phrase fait mouche et fait jaser.
    Tentation populiste ou anticipation sur la victoire ? Il s'agirait plutôt d'une frilosité de la part de la candidate à la candidature.

    Ségolène Royal paraît mal à l'aise dans le rôle du chef charismatique.
    N'est-elle pas faite pour les débats et conférences de presse et plus à l'aise à serrer les paluches, comme Chirac ?
    Ou se méfie-t-elle d'elle-même, à ce stade de la compétition, trop cassante, trop dure, trop autoritaire ?

    Il y a des deux assurément, et une sorte de mauvaise foi de DSK notamment, qui fustige la réponse de son adversaire mais n'est pas beaucoup plus clair qu'elle.

    Bien sûr, on peut lui reprocher de ne pas avoir répondu comme lui, en éludant, car la problématique turque est encore lointaine ; mais d'avoir, à l'approche du vote des militants, voulu envoyer une autre œillade à l'opinion.


    June D.

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